Quel est l’impact de la "question prioritaire de constitutionnalité" (QPC) sur l’aménagement du territoire, et plus précisément sur les différentes branches du droit auxquelles il se rapporte, qu’elles relèvent du droit public ou du droit privé : droits de l’urbanisme et de la construction, droit de l’environnement, droit de l’expropriation et droit des biens publics, disciplines que la pratique conduit bien souvent à sortir de leur isolement universitaire.
De quelle manière et dans quelle mesure ont-elles été contestées et le cas échéant affectées par leur passage au crible du nouveau contrôle de constitutionnalité ? Quels enseignements peut-on tirer de cette première année de mise en œuvre afin d’essayer d’éclairer et d’orienter au mieux les années de pratique à venir ? Telles sont les principales interrogations qui ont animé l’organisation de la journée d’études dont les actes sont ici publiés.